Le jour où j’ai frôlé une « injustice populaire » à Douala
6 janvier 2017
Il suffit qu’une minuscule voix, comme celle d’un petit démon,une voix qui sort de nulle part, « oh voleur », pour qu’on se saisisse de vous et qu’on vous tabasse comme un chien. J’ai vu des innocents êtres tués à coup de bâton et brûlés vifs sous le regard impuissant des forces de maintien de l’ordre. Je n’oublierai jamais cette année où j’ai failli être lynché comme un vulgaire chien, à Douala,…